En s'alignant sur Berlin pour les euro-obligations, le gouvernement Ayrault abandonne l'essentiel de
son programme européen. Une semaine après avoir été critiqué par la
chancelière, le chef du gouvernement français Jean-Marc Ayrault rentre dans le
rang. Il explique maintenant que « une mutualisation des dettes exige
obligatoirement une plus forte intégration politique, ce qui prendra plusieurs
années ». Ce qui est exactement le discours tenu par le ministre des Finances
allemand et la chancelière Angela Merkel.
François hollande ne parle plus de toute ses promesses de
campagnes concernant ce qu’il fallait faire pour l’Europe :
- Mutualisation de la dette (faire ployer Angela Merkel sur les euro-obligations)
- Revoir les statut de la BCE sur le modèle de la Fed.
- Renégociation du pacte budgétaire pour y insérer un «
volet croissance.
En contre partie Angela Merkel fait quelques petite
concession, elle accepte que François hollande écrive le mot croissance dans un
communiqué, ainsi que le redéploiement des fonds structurel.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire