samedi 30 mars 2013

les transports en commun plus pollué que le peripherique

Bizarre le gouvernement s'acharne sur les particules émise par les voiture mais ce n'est pourtant pas l endroit le plus pollué, le métro est responsable en France de nombreux cancer au même titre qu'avec le diesel mais il n'est politiquement pas correct de dire que les transport en commun sont très pollué.
Ainsi on est moins exposé au particule sur le périphériques parisien que dans le métro : "elles sont 1, 5 fois supérieures à celles relevées à la porte d’Auteuil sur le boulevard périphérique". Pourtant rien n'est fait pour améliorer la sécurité sanitaire des usagers des transports en commun.






Si les transports collectifs sont souvent avancés pour leurs faibles émissions de polluants atmosphériques, force est de constater qu'au niveau des particules les données sont très catastrophique.
L'amélioration de la qualité de l'air du métro devra passer, d'une part, par un meilleur air extérieur et, d'autre part, par la lutte contre les sources internes de pollution. On imagine le coût que représente la modernisation du parc de rames de métro et les investissements nécessaires à la recherche de systèmes de freinage et de guidage produisant beaucoup moins de particules et poussières. Seulement, il s'agit d'un problème de santé publique.
les collectivités territoriales mènent des politiques en faveur du développement des transports en commun afin de diminuer le trafic automobile et indirectement la pollution d'origine automobile. Pour la cohérence de cette politique, encore faudrait-il que les bus soient eux-mêmes "propres"mais nombre d'entre eux fonctionnent au diesel et ne sont pas équipés de filtres à particules.
Le message des pouvoirs publics est simpliste en matière de pollution urbaine. L'encouragement à l'utilisation des transports en commun n'est nullement le gage d'une meilleure qualité d'air pour l'usager

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