Bizarre le gouvernement s'acharne sur les particules émise par les
voiture mais ce n'est pourtant pas l endroit le plus pollué, le métro est
responsable en France de nombreux cancer au même titre qu'avec le
diesel mais il n'est politiquement pas correct de dire que les transport
en commun sont très pollué.
Ainsi on
est moins exposé au particule sur le périphériques parisien que dans le métro : "elles sont 1, 5 fois supérieures à celles relevées à la porte
d’Auteuil sur le boulevard périphérique". Pourtant rien n'est fait pour
améliorer la sécurité sanitaire des usagers des transports en commun.
Si les transports collectifs sont souvent avancés pour leurs faibles
émissions de polluants atmosphériques, force est de constater qu'au
niveau des particules les données sont très catastrophique.
L'amélioration de la qualité de l'air du métro devra passer, d'une part,
par un meilleur air extérieur et, d'autre part, par la lutte contre les
sources internes de pollution. On imagine le coût que représente la
modernisation du parc de rames de métro et les investissements
nécessaires à la recherche de systèmes de freinage et de guidage
produisant beaucoup moins de particules et poussières. Seulement, il
s'agit d'un problème de santé publique.
les collectivités territoriales mènent des
politiques en faveur du développement des transports en commun afin de
diminuer le trafic automobile et indirectement la pollution d'origine
automobile. Pour la cohérence de cette politique, encore
faudrait-il que les bus soient eux-mêmes
"propres"mais nombre d'entre eux fonctionnent au diesel et ne
sont pas équipés de filtres à particules.
Le message des pouvoirs publics est simpliste en matière de
pollution urbaine. L'encouragement à l'utilisation des transports en
commun n'est nullement le gage d'une meilleure qualité d'air pour
l'usager
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