"Nathalie Pigamo, la collaboratrice de Carlotti à
Marseille, m'a rapidement rassuré et a laissé un message vocal pour dire que,
malgré les incidents, la ministre réglerait la note", confie le
restaurateur au point "Je les ai relancés à plusieurs reprises. Les
collaborateurs de la ministre me répondaient que, faute de dessert, ils ne
régleraient pas la totalité de l'addition." le gérant du restaurant a donc
décidé de porter plainte et a diffusé un communiqué pour le faire savoir.
"Quatre minutes plus tard, je recevais un coup de fil du ministère me
pressant de démentir, sinon je ne serai jamais payé et la justice laissera
traîner les choses. J'ai refusé."
Coup de fil particulièrement inquiétant concernant l’indépendance
de la justice, et la main mise du syndicat de la magistrature sur les décisions
(très lié a la ministre de la justice Taubira). Rappelons que le journaliste
ayant filmé le mur des cons s’est vu sanctionner par une mise a pied car il a respecté
le secret des sources. (La protection des sources d'information des journalistes,
appelée aussi « secret professionnel », est la base de la déontologie du
journalisme et de la liberté de la presse).
Le ministère alors qu’il na rien avoir avec cette affaire a
porté plainte pour tentative d’escroquerie. Selon une source judiciaire
marseillaise, la ministre discuterait du prix, ne souhaitant régler que 15
euros le repas au lieu des 35 réclamés par le restaurateur alors que Madame
Carlotti et ses 32 invités avaient commandés, le dessert pas consommé mais
préparé donc celui-ci doit être payé au prix du menu convenu. La ministre
indique à qui veut l'entendre : "Je ne céderai pas à la mauvaise foi
et au mensonge. Il n'a jamais été question que mon équipe règle ces repas.
J'étais l'invitée du restaurateur, et je ne connaissais pas la plupart des
convives."
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire