L'État ne laissera pas faire» ce plan, explique François
Hollande. « C'est trop facile de dire que c'est la faute du coût du travail et
de verser des dividendes aux actionnaires. (...) Ce plan en l'état n'est pas
acceptable, par conséquent, il ne sera pas accepté. Mr Hollande n’a pas compris
que dans le cas de PSA l’État n’a que très peu de marge de manœuvre. De plus le groupe PSA n'a versé que très peu de dividende au contraire d'une entreprise comme France télecom qui elle est détenu a 27% par l’État et a versé plus de dividende que le montant de son résultat.
En effet PSA est un groupe entièrement privé qui n'a pas de
compte à rendre à l'État."Les marges de manoeuvre sont effectivement très
minces, surtout dans un contexte de retour à l'équilibre des finances
publiques", estime Éric Heyer, directeur adjoint du département analysé et
prévision de l'Observatoire français des conjonctures économiques.
De plus Francois hollande a affirmé : « Les affaires privées se règlent en privé. Et je l’ai dit à mes proches pour qu’ils acceptent scrupuleusement ce principe », a-t-il indiqué, en ajoutant que les Français « veulent que les choses soient claires, qu’il n’y ait aucune interférence » entre vie publique et vie privée. Il nous explique ainsi clairement qu'il n'a aucune marge de manoeuvre sur le plan de restructuration de PSA.
Pour le président, l'explication aux problèmes de PSA doit être recherchée du côté «des choix stratégiques qui n'ont pas été bons», «le souci de reporter des décisions difficiles» et «aussi des comportements d'actionnaires qui se sont distribué des dividendes». Pourtant il ne faut pas oublier de rappeler que l’État a reçu des dividende de Renault où il est l'actionnaire le plus important.
De plus Francois hollande a affirmé : « Les affaires privées se règlent en privé. Et je l’ai dit à mes proches pour qu’ils acceptent scrupuleusement ce principe », a-t-il indiqué, en ajoutant que les Français « veulent que les choses soient claires, qu’il n’y ait aucune interférence » entre vie publique et vie privée. Il nous explique ainsi clairement qu'il n'a aucune marge de manoeuvre sur le plan de restructuration de PSA.
Pour le président, l'explication aux problèmes de PSA doit être recherchée du côté «des choix stratégiques qui n'ont pas été bons», «le souci de reporter des décisions difficiles» et «aussi des comportements d'actionnaires qui se sont distribué des dividendes». Pourtant il ne faut pas oublier de rappeler que l’État a reçu des dividende de Renault où il est l'actionnaire le plus important.
"À très court terme l'État peut simplement essayer
d'obtenir des garanties sur le reclassement et la reconversion des
salariés", comme pour l'aciérie de Gandrange il y a quelques années,
explique E. M. Mouhoud, professeur à l'Université Paris-Dauphine.
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