Alors que le gouvernement indique une pause fiscale pour 2014 afin de rassurer les maires socialistes pour les municipales, Bercy a présenté un nouvel pour les entreprises. Pour 2014 le gouvernement souhaité rajouter un nouvel impôt est taxé au taux de 1.6% l'excédent brut des entreprises (EBE).
Ce nouvel impôt n'est dû jamais vu. On peut le représenter pour un particulier comme si en plus de payer l'impôt sur votre revenu net imposable, on créait un nouvel impôt sur votre salaire brut. Vous vous retrouveriez donc à payer de l'impôt sur les charges que vous payez.
À ce nouvel impôt il faut rajouter la hausse prévue de l'impôt sur le revenu pour presque 2 milliards d'euros avec la baisse du plafonnement du quotient familial et la suppression des aides pour les parents d'enfants scolarisés dans le secondaire et le supérieur. Il y aura également la fin de la déductibilité des cotisations aux mutuelles complémentaires, l’augmentation des cotisations retraites tant salariales que patronales.
Il ne faut pas non plus oublier 6 milliards d'impôts pour combler le manque à gagner de par rapport aux prévisions. Enfin la majorité des économies prévues par le gouvernement sont des hausses d'impôt déguisé.
D'ailleurs suite à l'échec de la censure par le gouvernement des hausses d'impôt, ce dernier a déjà décidé de repousser la pause fiscale d'un an : la pause fiscale interviendra un an plus tard que prévu, "une pause fiscale qui sera effective en 2015", a déclaré Jean-Marc Ayrault dans un entretien au site Metronews. Soit juste après les élections législatives avec comme sous-entendu : voter pour le pas sinon pas de pause fiscale
mardi 17 septembre 2013
lundi 16 septembre 2013
Syrie, qui sont les alliées de la France
Alors que François hollande veut punir le régime de damas et accentuer son soutien a l'opposition, le président n'a aucune réaction concernant les rebelles syriens qui défrayent la chronique par des crimes de guerre, kidnapping et menace contre les minorités syriennes. John Kerry, le secrétaire d’état américain, a d'ailleurs déclaré après des négociations avec le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, à Genève : "Il est possible que certaines de ces armes se trouvent dans les mains de l'opposition".
- À plusieurs reprises au cours de l'année certains rebelles syriens ont pris en otages des membres de l'Onu, en mars ils ont kidnappé 21 personnes proches du plateau du Golan. de nouveau en mai 4 membres de l'organisation ont ete prit en otage. fin juillet le convoi du chef intérimaire de la Mission de supervision des Nations unies en Syrie (Misnus), le général sénégalais Babacar Gaye, a été attaqué «le convoi du général Gaye a été visé par une attaque», a déclaré Ban Ki-Moon en précisant que c'était grâce au blindage des véhicules que l'on ne déplorait aucune victime. Des responsables de l'Onu ont révélé que les cinq véhicules du convoi ont essuyé des coups de feu tirés dans un secteur tenu par l'opposition
- La semaine dernière une vidéo montre des soldats de l'armée régulière agenouillée, front contre terre avec des traces de torture avec derrière des rebelles, le commandant récite alors un verset révolutionnaire, indique vouloir "se venger du régime", puis il abat le prisonnier qui se tient à ses pieds d'une balle dans la tête. Il y a trois mois une vidéo montrant un chef militaire rebelle manger le cœur d'un soldat syrien mort. En aout 2012 la BBC à censurer une vidéo montrant "les rebelles de l'ASL en train de forcer un prisonnier à commettre un attentat-suicide".
- Lundi 2 otages européens détenus par les rebelles ont témoigné de leur condition de détention.
C'est l'ASL soutenu et armé par la France et divers états occidentaux qui les a pris en otage en tentant de faire croire croire qu’ils étaient du Hezbollah :.« Nous avons franchi la frontière depuis le Liban le 6 avril, deux jours plus tard, nous étions à Qussayr et c’est là que l’Armée syrienne libre (ASL) nous a arrêtés puis livrés à la brigade « Abou Ammar », du nom de son chef. Ces gens sont des demi-dingues plus brigands qu’islamistes, plus ou moins inféodés au mouvement « Al Farouk », l’un des principaux groupes de rebelles.
Domenico Quirico envoyé spécial du quotidien italien La Stampa a été libéré dimanche 8 septembre en Syrie, après quatre mois de captivité. il indique dans son témoignage : qu'il a rencontré "le pays du Mal". "Nous étions traités comme des animaux, enfermés dans de petites pièces aux fenêtres closes malgré la chaleur étouffante, jetés sur des paillasses, nourris de leurs restes.", "Par deux fois, ils m'ont fait croire qu'ils allaient m'exécuter."
Le second otage libéré Pierre Piccinin, est particulièrement virulent contre les rebelles syriens. il révèle qu'il a surpris une conversation au cours de laquelle les "rebelles" assuraient avoir utilisé du gaz sarin. Et il poursuit : « C’est un devoir moral de le dire. Ce n’est pas le gouvernement de Bachar Al Assad qui a utilisé le gaz sarin ou un autre gaz dans lors des combats dans la banlieue de Damas. Même s’il m’en coûte de le dire parce que depuis mai 2012 je soutiens l’armée syrienne libre dans sa juste lutte pour la démocratie ». il conclut son témoignage par « C’est devenu trop dangereux pour les étrangers. L’ALS est en déliquescence. De nombreux groupes rebelles sont très radicaux, anti occidentaux, antichrétiens même. La révolution n’est plus ce qu’elle était… »
L'ASL c'est 50 généraux réfugiés en Turquie, qui se rendent aux réunions internationales, mais ils ne se battent pas sur le terrain. Ce ne sont pas des gens très efficaces. ils n'ont aucune autorité sur les combattants sur le terrain.
Un communiqué du ministère russe des affaires étrangères indique : "lors de les 24 sessions du Conseil de l’ONU, les experts internationaux ont présenté des preuves persuasives de la falsification des vidéos et photos des victimes de l’attaque chimique près de Damas, survenue me 21 août"
Mise a jour 14/09/2013 : S'exprimant lors d'une réunion à huis clos de l'ONU, qui a été diffusée sur une chaîne de télévision interne, Ban Ki-moon a déclaré que le rapport sur l'usage des armes chimiques en Syrie sera complet. Il a également accusé le gouvernement syrien de crimes contre l'humanité. Farhan Haq, le représentant de l'organisation, a indiqué qu'il ne savait pas quelles sont les sources utilisées par Ban Ki-moon.
Mise a jour du 16/09/2013 : une étude d'IHS Jane, une société de conseil en défense indique que les rebelles qui luttent contre le régime de Bachar al-Assad, en Syrie, seraient actuellement 100 000 combattants. Mais les forces sont totalement éparpillées et se divisent en près de 1 000 groupes distincts. Environ 10 000 djihadistes, dont des étrangers, liés à al-Qaïda feraient partie des rebelles. Toujours selon cette étude, 30 000 à 35 000 rebelles seraient des islamistes radicaux qui partagent les vues des djihadistes mais se concentrent uniquement sur la Syrie. IHS Jane estime que seule une petite minorité de rebelles serait donc liée à des groupes laïques ou nationalistes.
Selon Charles Lister, auteur de l'analyse , "l'insurrection est désormais dominée par des groupes qui ont au moins un point de vue islamique sur le conflit. L'idée que les leaders de l'opposition sont principalement des groupes laïques n'est tout simplement pas confirmée".
- À plusieurs reprises au cours de l'année certains rebelles syriens ont pris en otages des membres de l'Onu, en mars ils ont kidnappé 21 personnes proches du plateau du Golan. de nouveau en mai 4 membres de l'organisation ont ete prit en otage. fin juillet le convoi du chef intérimaire de la Mission de supervision des Nations unies en Syrie (Misnus), le général sénégalais Babacar Gaye, a été attaqué «le convoi du général Gaye a été visé par une attaque», a déclaré Ban Ki-Moon en précisant que c'était grâce au blindage des véhicules que l'on ne déplorait aucune victime. Des responsables de l'Onu ont révélé que les cinq véhicules du convoi ont essuyé des coups de feu tirés dans un secteur tenu par l'opposition
- La semaine dernière une vidéo montre des soldats de l'armée régulière agenouillée, front contre terre avec des traces de torture avec derrière des rebelles, le commandant récite alors un verset révolutionnaire, indique vouloir "se venger du régime", puis il abat le prisonnier qui se tient à ses pieds d'une balle dans la tête. Il y a trois mois une vidéo montrant un chef militaire rebelle manger le cœur d'un soldat syrien mort. En aout 2012 la BBC à censurer une vidéo montrant "les rebelles de l'ASL en train de forcer un prisonnier à commettre un attentat-suicide".
- Lundi 2 otages européens détenus par les rebelles ont témoigné de leur condition de détention.
C'est l'ASL soutenu et armé par la France et divers états occidentaux qui les a pris en otage en tentant de faire croire croire qu’ils étaient du Hezbollah :.« Nous avons franchi la frontière depuis le Liban le 6 avril, deux jours plus tard, nous étions à Qussayr et c’est là que l’Armée syrienne libre (ASL) nous a arrêtés puis livrés à la brigade « Abou Ammar », du nom de son chef. Ces gens sont des demi-dingues plus brigands qu’islamistes, plus ou moins inféodés au mouvement « Al Farouk », l’un des principaux groupes de rebelles.
Domenico Quirico envoyé spécial du quotidien italien La Stampa a été libéré dimanche 8 septembre en Syrie, après quatre mois de captivité. il indique dans son témoignage : qu'il a rencontré "le pays du Mal". "Nous étions traités comme des animaux, enfermés dans de petites pièces aux fenêtres closes malgré la chaleur étouffante, jetés sur des paillasses, nourris de leurs restes.", "Par deux fois, ils m'ont fait croire qu'ils allaient m'exécuter."
Le second otage libéré Pierre Piccinin, est particulièrement virulent contre les rebelles syriens. il révèle qu'il a surpris une conversation au cours de laquelle les "rebelles" assuraient avoir utilisé du gaz sarin. Et il poursuit : « C’est un devoir moral de le dire. Ce n’est pas le gouvernement de Bachar Al Assad qui a utilisé le gaz sarin ou un autre gaz dans lors des combats dans la banlieue de Damas. Même s’il m’en coûte de le dire parce que depuis mai 2012 je soutiens l’armée syrienne libre dans sa juste lutte pour la démocratie ». il conclut son témoignage par « C’est devenu trop dangereux pour les étrangers. L’ALS est en déliquescence. De nombreux groupes rebelles sont très radicaux, anti occidentaux, antichrétiens même. La révolution n’est plus ce qu’elle était… »
L'ASL c'est 50 généraux réfugiés en Turquie, qui se rendent aux réunions internationales, mais ils ne se battent pas sur le terrain. Ce ne sont pas des gens très efficaces. ils n'ont aucune autorité sur les combattants sur le terrain.
Un communiqué du ministère russe des affaires étrangères indique : "lors de les 24 sessions du Conseil de l’ONU, les experts internationaux ont présenté des preuves persuasives de la falsification des vidéos et photos des victimes de l’attaque chimique près de Damas, survenue me 21 août"
Mise a jour 14/09/2013 : S'exprimant lors d'une réunion à huis clos de l'ONU, qui a été diffusée sur une chaîne de télévision interne, Ban Ki-moon a déclaré que le rapport sur l'usage des armes chimiques en Syrie sera complet. Il a également accusé le gouvernement syrien de crimes contre l'humanité. Farhan Haq, le représentant de l'organisation, a indiqué qu'il ne savait pas quelles sont les sources utilisées par Ban Ki-moon.
Mise a jour du 16/09/2013 : une étude d'IHS Jane, une société de conseil en défense indique que les rebelles qui luttent contre le régime de Bachar al-Assad, en Syrie, seraient actuellement 100 000 combattants. Mais les forces sont totalement éparpillées et se divisent en près de 1 000 groupes distincts. Environ 10 000 djihadistes, dont des étrangers, liés à al-Qaïda feraient partie des rebelles. Toujours selon cette étude, 30 000 à 35 000 rebelles seraient des islamistes radicaux qui partagent les vues des djihadistes mais se concentrent uniquement sur la Syrie. IHS Jane estime que seule une petite minorité de rebelles serait donc liée à des groupes laïques ou nationalistes.
Selon Charles Lister, auteur de l'analyse , "l'insurrection est désormais dominée par des groupes qui ont au moins un point de vue islamique sur le conflit. L'idée que les leaders de l'opposition sont principalement des groupes laïques n'est tout simplement pas confirmée".
Libellés :
al nosra,
ASL,
france,
Francois Hollande,
kidnapping,
ONU,
otage,
rebelles,
syrie,
video
délinquance à tous les etages
Alors que les gouvernement veulent s'occuper de l'education des jeunes francais et n'hesite pas a critiquer les parents, alors que la ministre de la justice veut reformer le systeme penal et assouplir les peines pour les delits notamment pour les recidiviste. de nombreuse affaires concernant ministre et leur enfants apparaisse furtivement dans la presse avant d’être étouffer et de faire l'objet de censure.
- On retrouve ainsi le fils de Marisol Touraine incarcéré début septembre suite a sa condamnation de mars 2013. En mai 2011. le fils de Marisol Tourainee accompagné d'un complice vêtus d'une cagoule pénètrent dans l'appartement d'une femme de près de 60 ans. Ils la menacent avec une arme, la dépouillent de son argent et lui extorquent son code de carte bancaire avant de tenter de la bâillonner. Interpellé en octobre 2011, le jeune homme explique avoir agi ainsi à cause d'une dette à rembourser. Chose étonnante au vu des revenue de ses parents sujet à l'Impôt sur la fortune. Un choc pour la victime, qui le croisait régulièrement : "J'ai été surprise d'apprendre que c'était Gabriel Reveyrand de Menthon, confie la retraitée à VSD, car il était toujours poli et aimable quand je le croisais. (...) Marisol Touraine et moi, nous ne nous parlons plus depuis. On s'évite. Elle n'est jamais venue me voir, mais, une semaine après le procès, elle m'a fait parvenir une lettre d'excuses."
Gabriel Reveyrand de Menthon avait déjà eu dans le passé un comportement agressif, précise Me Raskin. Ses parents l'ont placé à plusieurs reprises dans des établissements éducatifs spécialisés. A la fin, ils n'en pouvaient plus." Résultat, les parents installent le fils dans un studio acheté par la ministre dans le Ve arrondissement.
il a été condamné a une peine de prison ferme, ainsi qu'au versement a la victime de 3000 € au titre de son préjudice moral et 990 € pour son préjudice matériel. le fils lui n'a jamais payé les dommages et intérêt auquel il a été condamné.
- En 1996, âgé de 15 ans un des fils de Taubira a été arrêté pour "non-port du casque" sur son scooter. Il se trouvait dehors un soir d'émeutes et avait en sa possession des "babioles" dérobées par des casseurs. A son procès, Lamine écope d'un rappel à la loi et d'une inscription de l'affaire dans son casier judiciaire. 3 ans plus tard en 1999, il est accusé d'être impliqué dans un vol de scooter. Le père de la victime retire sa plainte, quand sa fille assure que Lamine est innocent. Pourtant chose étrange malgré l'innocence de son fils, Christiane Taubira paie les "deux tiers de la valeur du scooter qui n'était pas neuf". Selon valeurs actuelle Christiane Taubira aurait "tenté de faire annuler", en 2001, une "condamnation avec dispense de peine" de son fils par le tribunal de Bourges pour "complicité de vol".
- Thomas Fabius, le fils du Ministre des Affaires Étrangères, fait l'objet de la part de juges d’instruction d’enquête sur l’acquisition d’un appartement de 280 m² dans un quartier très huppé de Paris, pour la modique somme de …7 millions d’euros alors qu'il est officiellement sans revenus et qu'il ne pais pas d’impôt sur le revenu.
Des juges s’intéressent également aux raisons pour lesquelles le casino de Monaco aurait effacé une ardoise de 700 000 € du fils Laurent Fabius. Les juges d’instruction Roger Loire et René Cros veulent en savoir plus sur l’effacement de cette dette et auraient ordonné une commission rogatoire internationale à Monaco. Cette procédure permettrait à la police de procéder à des perquisitions à la SBM ainsi que département des finances monégasque. Réputé pour être accroc au jeu, Thomas Fabius est interdit de casino en France.
- On retrouve ainsi le fils de Marisol Touraine incarcéré début septembre suite a sa condamnation de mars 2013. En mai 2011. le fils de Marisol Tourainee accompagné d'un complice vêtus d'une cagoule pénètrent dans l'appartement d'une femme de près de 60 ans. Ils la menacent avec une arme, la dépouillent de son argent et lui extorquent son code de carte bancaire avant de tenter de la bâillonner. Interpellé en octobre 2011, le jeune homme explique avoir agi ainsi à cause d'une dette à rembourser. Chose étonnante au vu des revenue de ses parents sujet à l'Impôt sur la fortune. Un choc pour la victime, qui le croisait régulièrement : "J'ai été surprise d'apprendre que c'était Gabriel Reveyrand de Menthon, confie la retraitée à VSD, car il était toujours poli et aimable quand je le croisais. (...) Marisol Touraine et moi, nous ne nous parlons plus depuis. On s'évite. Elle n'est jamais venue me voir, mais, une semaine après le procès, elle m'a fait parvenir une lettre d'excuses."
Gabriel Reveyrand de Menthon avait déjà eu dans le passé un comportement agressif, précise Me Raskin. Ses parents l'ont placé à plusieurs reprises dans des établissements éducatifs spécialisés. A la fin, ils n'en pouvaient plus." Résultat, les parents installent le fils dans un studio acheté par la ministre dans le Ve arrondissement.
il a été condamné a une peine de prison ferme, ainsi qu'au versement a la victime de 3000 € au titre de son préjudice moral et 990 € pour son préjudice matériel. le fils lui n'a jamais payé les dommages et intérêt auquel il a été condamné.
- En 1996, âgé de 15 ans un des fils de Taubira a été arrêté pour "non-port du casque" sur son scooter. Il se trouvait dehors un soir d'émeutes et avait en sa possession des "babioles" dérobées par des casseurs. A son procès, Lamine écope d'un rappel à la loi et d'une inscription de l'affaire dans son casier judiciaire. 3 ans plus tard en 1999, il est accusé d'être impliqué dans un vol de scooter. Le père de la victime retire sa plainte, quand sa fille assure que Lamine est innocent. Pourtant chose étrange malgré l'innocence de son fils, Christiane Taubira paie les "deux tiers de la valeur du scooter qui n'était pas neuf". Selon valeurs actuelle Christiane Taubira aurait "tenté de faire annuler", en 2001, une "condamnation avec dispense de peine" de son fils par le tribunal de Bourges pour "complicité de vol".
- Thomas Fabius, le fils du Ministre des Affaires Étrangères, fait l'objet de la part de juges d’instruction d’enquête sur l’acquisition d’un appartement de 280 m² dans un quartier très huppé de Paris, pour la modique somme de …7 millions d’euros alors qu'il est officiellement sans revenus et qu'il ne pais pas d’impôt sur le revenu.
Des juges s’intéressent également aux raisons pour lesquelles le casino de Monaco aurait effacé une ardoise de 700 000 € du fils Laurent Fabius. Les juges d’instruction Roger Loire et René Cros veulent en savoir plus sur l’effacement de cette dette et auraient ordonné une commission rogatoire internationale à Monaco. Cette procédure permettrait à la police de procéder à des perquisitions à la SBM ainsi que département des finances monégasque. Réputé pour être accroc au jeu, Thomas Fabius est interdit de casino en France.
Libellés :
délinquance,
emprisonnement,
fabius,
Marisol Touraine,
ministres,
taubira
samedi 14 septembre 2013
Le laxisme de la justice responsable du braquage de nice
Mercredi 11 septembre, deux braqueurs sont arrivés armés de fusils à pompe dans une bijouterie de Nice. Après avoir passé à tabacs le commerçant, ils l'ont contraint à ouvrir son coffre avant de s'enfuir à Scooter. Ce dernier s'est défendu lors de leur fuite et a tiré à plusieurs reprises sur les braqueurs notamment sur le passager qui avait encore en main les armes. L'un des braqueurs a été touché et n'a pas survécu au tir. Une partie des bijoux a été retrouvée sa possession.
On apprend désormais que le braqueur nommé Anthony qui a trouvé la mort n'en était pas à son coup d'essai. selon le point "il possédait un casier judiciaire déjà bien fourni, au regard de son jeune âge. Ainsi, la victime avait déjà été condamnée à quatorze reprises (dont treize fois par le tribunal des mineurs) entre janvier 2006 et octobre 2011". il aurait effectué un séjour en prison à Grasse entre les mois d'octobre 2011 et d'août 2013, avant de bénéficier d'un aménagement de peine et d'un placement sous bracelet électronique.
Concernant le bijoutier, le magistrat en charge du dossier a estimé lors d'une conférence de presse que des indices laissaient penser que le commerçant, qui invoque la légitime défense, a "agi volontairement pour donner la mort" en tirant sur le fuyard, touché d'une balle dans le dos.
Un nombre important de questions se posent, comment se fait ils que le braqueur est pu bénéficier de la part de la justice d'un aménagement de peine après 14 condamnations, comment a-t-il fait pour se procurer un fusil à pompe malgré la surveillance dont ils devaient faire l'objet. On voit que ces mesures de sursis avec mise à l'épreuve ne veulent rien dire. Ce sont des mots creux, vides de toute obligation, qui masquent la totale liberté dans laquelle sont laissés les multirécidivistes.
Si la justice avait fait correctement son travail et si la ministre de la justice ne prenait pas des décisions tournées en faveur des délinquants et la suppression des peines de prison, ce drame aurait sans doute jamais eu lieu.
Ce n'était d'ailleurs pas le premier vol pour ce commerçant, sa bijouterie avait été la cible d'un cambriolage à la disqueuse en septembre 2012. Les malfrats avaient découpé le rideau métallique avec l'engin et avaient ensuite forcé la porte. ils ont enfin brisé trois vitrines pour faire leur razzia, à 4h00 du matin. Le préjudice avoisinerait 25.000 euros.
Alors que le nom du commerçant a été rendu public le nom du second braqueur ainsi que les auteurs des précédents cambriolages restent restent néanmoins anonymes.
Selon le frère d'Anthony, le commerçant «a tiré dans la rue et dans le dos. Je n'appelle pas ça de la légitime défense». Et son père d'ajouter, tout en admettant les fautes de son fils : «Il a été tiré comme un pigeon». Pourtant sa famille oublie quand même de mentionner que les braqueurs étaient toujours armés de leurs fusils à pompe et notamment leur fils qui en tant que passager avait les armes en main au moment des coups de feu, ils étaient donc toujours particulièrement dangereux. Les policiers ont retrouvé sur le corps du jeune homme, un authentique fusil à pompe mais aussi une arme factice.
On parle ainsi beaucoup de l'arme du commerçant qui était illégal mais les magistrats ne disent rien sur l'arme de guerre détenue par les braqueurs et dont la personnes qui a été tué était en possession.
Une vague de soutien s'est formé pour le bijoutier un groupe Facebook, comptait vendredi à la mi-journée plus de 330.000 «fans». Une pétition a été mise en ligne sur le site mesopinions.com : adressée à la ministre de la Justice Christiane Taubira, elle avait recueilli près de 23 000 signatures. Beaucoup de personnes ne comprennent pas le laxisme de la justice et de la ministre.
En trois ans, les braquages de bijouteries ont vu leur nombre plus que doubler dans l'Hexagone. "C'est en augmentation constante. Mais à cela il faut aussi ajouter les séquestrations et les cambriolages pour avoir une photographie exacte du phénomène", explique Doron Lévy, un expert indépendant."Si les gens montent plus facilement au braquage, c'est qu'il y a un sentiment d'impunité, de facilité, surtout du recel. Il n'y a pas braquage s'en refourgue", précise une source policière. Selon la police, les braquages ne sont aujourd'hui plus l'apanage du grand banditisme mais d'une petite délinquance. Ils sont de plus en plus violents.
On apprend désormais que le braqueur nommé Anthony qui a trouvé la mort n'en était pas à son coup d'essai. selon le point "il possédait un casier judiciaire déjà bien fourni, au regard de son jeune âge. Ainsi, la victime avait déjà été condamnée à quatorze reprises (dont treize fois par le tribunal des mineurs) entre janvier 2006 et octobre 2011". il aurait effectué un séjour en prison à Grasse entre les mois d'octobre 2011 et d'août 2013, avant de bénéficier d'un aménagement de peine et d'un placement sous bracelet électronique.
Concernant le bijoutier, le magistrat en charge du dossier a estimé lors d'une conférence de presse que des indices laissaient penser que le commerçant, qui invoque la légitime défense, a "agi volontairement pour donner la mort" en tirant sur le fuyard, touché d'une balle dans le dos.
Un nombre important de questions se posent, comment se fait ils que le braqueur est pu bénéficier de la part de la justice d'un aménagement de peine après 14 condamnations, comment a-t-il fait pour se procurer un fusil à pompe malgré la surveillance dont ils devaient faire l'objet. On voit que ces mesures de sursis avec mise à l'épreuve ne veulent rien dire. Ce sont des mots creux, vides de toute obligation, qui masquent la totale liberté dans laquelle sont laissés les multirécidivistes.
Si la justice avait fait correctement son travail et si la ministre de la justice ne prenait pas des décisions tournées en faveur des délinquants et la suppression des peines de prison, ce drame aurait sans doute jamais eu lieu.
Ce n'était d'ailleurs pas le premier vol pour ce commerçant, sa bijouterie avait été la cible d'un cambriolage à la disqueuse en septembre 2012. Les malfrats avaient découpé le rideau métallique avec l'engin et avaient ensuite forcé la porte. ils ont enfin brisé trois vitrines pour faire leur razzia, à 4h00 du matin. Le préjudice avoisinerait 25.000 euros.
Alors que le nom du commerçant a été rendu public le nom du second braqueur ainsi que les auteurs des précédents cambriolages restent restent néanmoins anonymes.
Selon le frère d'Anthony, le commerçant «a tiré dans la rue et dans le dos. Je n'appelle pas ça de la légitime défense». Et son père d'ajouter, tout en admettant les fautes de son fils : «Il a été tiré comme un pigeon». Pourtant sa famille oublie quand même de mentionner que les braqueurs étaient toujours armés de leurs fusils à pompe et notamment leur fils qui en tant que passager avait les armes en main au moment des coups de feu, ils étaient donc toujours particulièrement dangereux. Les policiers ont retrouvé sur le corps du jeune homme, un authentique fusil à pompe mais aussi une arme factice.
On parle ainsi beaucoup de l'arme du commerçant qui était illégal mais les magistrats ne disent rien sur l'arme de guerre détenue par les braqueurs et dont la personnes qui a été tué était en possession.
Une vague de soutien s'est formé pour le bijoutier un groupe Facebook, comptait vendredi à la mi-journée plus de 330.000 «fans». Une pétition a été mise en ligne sur le site mesopinions.com : adressée à la ministre de la Justice Christiane Taubira, elle avait recueilli près de 23 000 signatures. Beaucoup de personnes ne comprennent pas le laxisme de la justice et de la ministre.
En trois ans, les braquages de bijouteries ont vu leur nombre plus que doubler dans l'Hexagone. "C'est en augmentation constante. Mais à cela il faut aussi ajouter les séquestrations et les cambriolages pour avoir une photographie exacte du phénomène", explique Doron Lévy, un expert indépendant."Si les gens montent plus facilement au braquage, c'est qu'il y a un sentiment d'impunité, de facilité, surtout du recel. Il n'y a pas braquage s'en refourgue", précise une source policière. Selon la police, les braquages ne sont aujourd'hui plus l'apanage du grand banditisme mais d'une petite délinquance. Ils sont de plus en plus violents.
Libellés :
aménagement de peine,
bijoutier,
braquage,
délinquance,
indices,
justice,
magistrat,
Nice,
récidiviste,
taubira
vendredi 6 septembre 2013
En 50 ans, les ingérences étrangères ont mit le moyen orient à feu et à sang
Depuis la seconde guerre mondiale, le moyen orient est devenu un lieu de lutte entre les puissances occidentales.
- Ainsi en Iran dés 1941, alors que le pays a déclare sa neutralité dans le conflit, il est envahit par la Russie et la grande Bretagne qui cherche à s’approprier ses ressources en pétrole. Il force Reza Shah à abdiquer en faveur de son fils, le pays est occupé jusqu’en 1945. Alors qu’a la fin de la guerre la conférence de Téhéran s’engage sur l’indépendance du pays. La Russie refuse de retirer ses troupes du pays tant que l’iran ne reconnaît l’autonomie de l'Azerbaïdjan (république pro-soviétique) et n’accorde à l’URSS une concession sur le pétrole. Avec le soutien des anglo-saxon la province est reconquise et le parlement iranien, élu en 1948, rejette l’accord de concession sur le pétrole.
En 1951, le premier Mohammad Mossadegh est éloigné du pouvoir par les anglais et les américains pour avoir nationaliser le pétrole. Le shah d’Iran est rétablit sur le trône en échange de licences à cinq entreprises pétrolières américaines, en plus de la Royal Dutch Shell et de la Compagnie française de pétroles. En 1973, C'est la révolution iranienne qui verra l'émergence de l'ayatollah Khomeyni, chef religieux en exil depuis quinze ans et soutenu par le gouvernement Giscard. Mais il n'est pas le « Gandhi iranien » dont parle le journal Le Monde et il utilise les méthodes oppressives qui avaient été dénoncées sous la dictature du shah.
Les États-Unis et leurs alliés fournissent des armes et de la technologie à Saddam Hussein, qui a pour objectif de s’emparer des champs de pétrole du Khuzestan. En 1980, l'Irak, soutenu financièrement et militairement par les autres pays arabes, puis par les États-Unis et les pays occidentaux envahit l'Iran avec l'espoir de détruire la révolution. L’Irak, à l'issue de la guerre Iran-Irak, ne réussit pas à défaire la révolution islamique mais celle-ci ne parvient pas non plus à s'exporter.
- En Irak, Saddam Hussein bénéficie à partir de 1979 du soutien à la fois des pays occidentaux et du Bloc de l'Est. Après la révolution islamique d'Iran, l'Irak bénéficie d'un large soutien international et des pays comme la France et les États-Unis qui lui fournissent en grande quantité armes et technologies, l'URSS restant toutefois le premier fournisseur d'armement. Les Nations unies n'ont jamais enquêté sur les crimes de Saddam Hussein car il était impossible de violer les principes de souveraineté et de non-ingérence dans les affaires intérieures d'un État. Aucune aide internationale ne vint soutenir les victimes kurdes des gazages et de la politique d'extermination.
Ce n’est qu’avec l’invasion du Koweït que l’Irak perd ses soutiens et qu’une coalition internationale se forme afin de « contenir » le régime irakien. Saddam Hussein reste au pouvoir et mate une rébellion, les coalisés n'agissant pas. L'ordre est rétabli dans le centre de l'Irak sous le contrôle de Saddam.
- En Afghanistan Mohammed Daoud Khan avec l’aide de l’armée soviétique prend le contrôle du pays et renverse le roi Mohammad Nadir Shah en 1973. En 1978 alors que Doud s’éloigne de l’URSS, ces derniers offrent un soutien militaire et financier au Parti populaire démocrate afghan) qui organise un putsch militaire pour le renverser. Mais le nouveau premier ministre Hafizullah Amin désire plus d'autonomie vis-à-vis de l'URSS et il prend le pouvoir en 1979. Moins de 10 jours plus tard L’URSS envahi le pays et en 1980, près de 100 000 soldats soviétiques sont en Afghanistan mais ils ne contrôlent que les grandes villes et principales régions économiques. Les moudjahidines, soutenus et armés par les pays occidentaux, États-Unis en tête, prennent progressivement le contrôle de la majorité du territoire (80 %) à l'exception des villes principales. Dès la chute du régime pro-soviétique une guerre civil s’installe entre les volontaires islamistes étrangers et les moudjahidines afghan. En 1996, les talibans, soutenus par le Pakistan et l'Arabie saoudite (financement), prennent le pouvoir et contrôlent, avec l’aide des islamistes étrangers, la majeure partie du pays en repoussant progressivement les moudjahidines du commandant Massoud dans les confins du nord-est du pays.
- Ainsi en Iran dés 1941, alors que le pays a déclare sa neutralité dans le conflit, il est envahit par la Russie et la grande Bretagne qui cherche à s’approprier ses ressources en pétrole. Il force Reza Shah à abdiquer en faveur de son fils, le pays est occupé jusqu’en 1945. Alors qu’a la fin de la guerre la conférence de Téhéran s’engage sur l’indépendance du pays. La Russie refuse de retirer ses troupes du pays tant que l’iran ne reconnaît l’autonomie de l'Azerbaïdjan (république pro-soviétique) et n’accorde à l’URSS une concession sur le pétrole. Avec le soutien des anglo-saxon la province est reconquise et le parlement iranien, élu en 1948, rejette l’accord de concession sur le pétrole.
En 1951, le premier Mohammad Mossadegh est éloigné du pouvoir par les anglais et les américains pour avoir nationaliser le pétrole. Le shah d’Iran est rétablit sur le trône en échange de licences à cinq entreprises pétrolières américaines, en plus de la Royal Dutch Shell et de la Compagnie française de pétroles. En 1973, C'est la révolution iranienne qui verra l'émergence de l'ayatollah Khomeyni, chef religieux en exil depuis quinze ans et soutenu par le gouvernement Giscard. Mais il n'est pas le « Gandhi iranien » dont parle le journal Le Monde et il utilise les méthodes oppressives qui avaient été dénoncées sous la dictature du shah.
Les États-Unis et leurs alliés fournissent des armes et de la technologie à Saddam Hussein, qui a pour objectif de s’emparer des champs de pétrole du Khuzestan. En 1980, l'Irak, soutenu financièrement et militairement par les autres pays arabes, puis par les États-Unis et les pays occidentaux envahit l'Iran avec l'espoir de détruire la révolution. L’Irak, à l'issue de la guerre Iran-Irak, ne réussit pas à défaire la révolution islamique mais celle-ci ne parvient pas non plus à s'exporter.
- En Irak, Saddam Hussein bénéficie à partir de 1979 du soutien à la fois des pays occidentaux et du Bloc de l'Est. Après la révolution islamique d'Iran, l'Irak bénéficie d'un large soutien international et des pays comme la France et les États-Unis qui lui fournissent en grande quantité armes et technologies, l'URSS restant toutefois le premier fournisseur d'armement. Les Nations unies n'ont jamais enquêté sur les crimes de Saddam Hussein car il était impossible de violer les principes de souveraineté et de non-ingérence dans les affaires intérieures d'un État. Aucune aide internationale ne vint soutenir les victimes kurdes des gazages et de la politique d'extermination.
Ce n’est qu’avec l’invasion du Koweït que l’Irak perd ses soutiens et qu’une coalition internationale se forme afin de « contenir » le régime irakien. Saddam Hussein reste au pouvoir et mate une rébellion, les coalisés n'agissant pas. L'ordre est rétabli dans le centre de l'Irak sous le contrôle de Saddam.
- En Afghanistan Mohammed Daoud Khan avec l’aide de l’armée soviétique prend le contrôle du pays et renverse le roi Mohammad Nadir Shah en 1973. En 1978 alors que Doud s’éloigne de l’URSS, ces derniers offrent un soutien militaire et financier au Parti populaire démocrate afghan) qui organise un putsch militaire pour le renverser. Mais le nouveau premier ministre Hafizullah Amin désire plus d'autonomie vis-à-vis de l'URSS et il prend le pouvoir en 1979. Moins de 10 jours plus tard L’URSS envahi le pays et en 1980, près de 100 000 soldats soviétiques sont en Afghanistan mais ils ne contrôlent que les grandes villes et principales régions économiques. Les moudjahidines, soutenus et armés par les pays occidentaux, États-Unis en tête, prennent progressivement le contrôle de la majorité du territoire (80 %) à l'exception des villes principales. Dès la chute du régime pro-soviétique une guerre civil s’installe entre les volontaires islamistes étrangers et les moudjahidines afghan. En 1996, les talibans, soutenus par le Pakistan et l'Arabie saoudite (financement), prennent le pouvoir et contrôlent, avec l’aide des islamistes étrangers, la majeure partie du pays en repoussant progressivement les moudjahidines du commandant Massoud dans les confins du nord-est du pays.
Libellés :
afghanistan,
etranger,
ingerence,
intervention,
irak,
iran,
moyen orient,
occident
mardi 3 septembre 2013
Syrie, les preuves de la France se résument à rien
Le 2 septembre, le gouvernement français a décidé de rendre publique certaine information classé secret défense censé prouver la responsabilité de Bachar el Assad dans l'attaque chimique.
En la lisant on remarque qu'elle reprend simplement des informations déjà connu et dont une partie est sur Wikipédia, et qu'elle ne fait que mentionnée le fait que la Syrie dispose de stock d'arme chimique (information connue depuis plusieurs années). Il en déduit que puisque la Syrie a des armes chimiques alors ils les ont utilisées. Pourtant les USA, la Chine, la Russie et bien d'autres États en possèdent ainsi que la France.
De même les vidéos n'apportent en rien la preuve de la responsabilité de l'un des deux camps. Elles ne font que mentionner le fait que des armes chimiques ont été utilisé le 21 août. Au final elle n'apporte rien de nouveau si ce n'est le fait que la France ne dispose toujours pas de preuves de la responsabilité du régime syrien et donc la responsabilité des rebelles ne peut être exclu. "Ce document n'est pas une preuve, pas même un rapport brut des services de renseignement français", affirme Éric Denécé, directeur du Centre français de recherche sur le renseignement
Le président de l'UDI fait preuve de scepticisme à la lecture du rapport et il considère qu'Il s'agit de "raisonnement" et non de preuves. Ni les israéliens qui observent attentivement la scène de tout près, ni les USA aux moyens considérables ne sont en mesure de dire qui a tiré.
On peut au mieux parler d'erreur de communication du gouvernement qui a qualifié de "déclassifiées" des informations déjà connues de tous, mais on peut également estimé comme l'affirme le directeur du Centre français de recherche sur le renseignement qu' "Il s'agit d'une synthèse gouvernementale de plusieurs papiers des services de renseignement afin de manipuler l'opinion et les parlementaires".
En juin, le new york times indiquait que depuis près d’un an, d’importantes quantités d’armes issues notamment des stocks du colonel Mouammar Kadhafi, le "guide" libyen renversé et tué le 20 octobre 2011, ont été envoyées aux rebelles syriens, selon plusieurs médias. le "New York Times" détaille le mode opératoire, en se basant sur des données de vols aériens et les témoignages d’officiels, de contrebandiers, de rebelles et d’analystes. Un travail qui révèle "un effort multinational actif et complexe, financé par le Qatar, pour transporter les armes depuis la Libye jusqu’aux combattants de l’opposition syrienne", écrit le journal.
Il y a quelques mois, le site Cyber War rendait compte d’une fuite de données chez Britam Défense, une boîte de mercenaires britanniques.
On y découvre que les mercenaires ont été contactés pour introduire à Homs, en Syrie des armes chimiques et de tourner une vidéo en rendant compte. Le tout à la demande du Qatar, et selon ce dernier, avec la bénédiction de Washington. « Je ne crois pas que ce soit une bonne idée, mais les sommes proposées sont énormes«, conclut le commercial en chef des mercenaires.
Les déclarations du journaliste Dale Gavlak, correspondant au Moyen-Orient pour l'Associated Press depuis deux décennies viennent étayer cette thèse. Il indique que de nombreux médecins, résidents de Ghouta, des combattants rebelles et leurs familles, prétendent que certains rebelles ont reçu des armes chimiques par l'intermédiaire du chef du renseignement saoudien, le prince bandar ben Sultan, et que ce sont ces armes qui sont responsables de l'attentat chimique mortel. Les rebelles ont dit à Gavlak qu'ils n'ont pas été correctement formés sur la façon de manipuler les armes chimiques, qu'ils ne savaient pas de quoi il s'agissait. Il semble que les armes devaient initialement être données à Al-Qaida et au groupe Front al-nosra.
Un membre de l'opposition syrienne a indiqué au journaliste que certains rebelles ont manipulé les armes de façon inappropriée, ce qui a déclenché les explosions. Abou Abdel-Moneim, le père d'un rebelle de l'opposition, a également dit à Gavlak: "Mon fils est venue me voir il y a deux semaines me demandant ce que je pensais du fait qu'on lui avait demandé de garder des armes." Le fils aurait décrit les armes comme une structure en forme de tube tandis que d'autres étaient comme une énorme bouteille de gaz. Le père a nommé le militant saoudien qui aurait fourni les armes comme étant Abou Ayesha. de plus d'une douzaine de rebelles interrogés ont indiqué que leurs salaires proviennent du gouvernement saoudien, écrit Gavlak.
En la lisant on remarque qu'elle reprend simplement des informations déjà connu et dont une partie est sur Wikipédia, et qu'elle ne fait que mentionnée le fait que la Syrie dispose de stock d'arme chimique (information connue depuis plusieurs années). Il en déduit que puisque la Syrie a des armes chimiques alors ils les ont utilisées. Pourtant les USA, la Chine, la Russie et bien d'autres États en possèdent ainsi que la France.
De même les vidéos n'apportent en rien la preuve de la responsabilité de l'un des deux camps. Elles ne font que mentionner le fait que des armes chimiques ont été utilisé le 21 août. Au final elle n'apporte rien de nouveau si ce n'est le fait que la France ne dispose toujours pas de preuves de la responsabilité du régime syrien et donc la responsabilité des rebelles ne peut être exclu. "Ce document n'est pas une preuve, pas même un rapport brut des services de renseignement français", affirme Éric Denécé, directeur du Centre français de recherche sur le renseignement
Le président de l'UDI fait preuve de scepticisme à la lecture du rapport et il considère qu'Il s'agit de "raisonnement" et non de preuves. Ni les israéliens qui observent attentivement la scène de tout près, ni les USA aux moyens considérables ne sont en mesure de dire qui a tiré.
On peut au mieux parler d'erreur de communication du gouvernement qui a qualifié de "déclassifiées" des informations déjà connues de tous, mais on peut également estimé comme l'affirme le directeur du Centre français de recherche sur le renseignement qu' "Il s'agit d'une synthèse gouvernementale de plusieurs papiers des services de renseignement afin de manipuler l'opinion et les parlementaires".
En juin, le new york times indiquait que depuis près d’un an, d’importantes quantités d’armes issues notamment des stocks du colonel Mouammar Kadhafi, le "guide" libyen renversé et tué le 20 octobre 2011, ont été envoyées aux rebelles syriens, selon plusieurs médias. le "New York Times" détaille le mode opératoire, en se basant sur des données de vols aériens et les témoignages d’officiels, de contrebandiers, de rebelles et d’analystes. Un travail qui révèle "un effort multinational actif et complexe, financé par le Qatar, pour transporter les armes depuis la Libye jusqu’aux combattants de l’opposition syrienne", écrit le journal.
Il y a quelques mois, le site Cyber War rendait compte d’une fuite de données chez Britam Défense, une boîte de mercenaires britanniques.
On y découvre que les mercenaires ont été contactés pour introduire à Homs, en Syrie des armes chimiques et de tourner une vidéo en rendant compte. Le tout à la demande du Qatar, et selon ce dernier, avec la bénédiction de Washington. « Je ne crois pas que ce soit une bonne idée, mais les sommes proposées sont énormes«, conclut le commercial en chef des mercenaires.
Les déclarations du journaliste Dale Gavlak, correspondant au Moyen-Orient pour l'Associated Press depuis deux décennies viennent étayer cette thèse. Il indique que de nombreux médecins, résidents de Ghouta, des combattants rebelles et leurs familles, prétendent que certains rebelles ont reçu des armes chimiques par l'intermédiaire du chef du renseignement saoudien, le prince bandar ben Sultan, et que ce sont ces armes qui sont responsables de l'attentat chimique mortel. Les rebelles ont dit à Gavlak qu'ils n'ont pas été correctement formés sur la façon de manipuler les armes chimiques, qu'ils ne savaient pas de quoi il s'agissait. Il semble que les armes devaient initialement être données à Al-Qaida et au groupe Front al-nosra.
Un membre de l'opposition syrienne a indiqué au journaliste que certains rebelles ont manipulé les armes de façon inappropriée, ce qui a déclenché les explosions. Abou Abdel-Moneim, le père d'un rebelle de l'opposition, a également dit à Gavlak: "Mon fils est venue me voir il y a deux semaines me demandant ce que je pensais du fait qu'on lui avait demandé de garder des armes." Le fils aurait décrit les armes comme une structure en forme de tube tandis que d'autres étaient comme une énorme bouteille de gaz. Le père a nommé le militant saoudien qui aurait fourni les armes comme étant Abou Ayesha. de plus d'une douzaine de rebelles interrogés ont indiqué que leurs salaires proviennent du gouvernement saoudien, écrit Gavlak.
Libellés :
armes,
attaques,
chimiques,
france,
Francois Hollande,
Gavlak,
journaliste,
mercenaires,
preuves,
rebelles,
syrie
dimanche 1 septembre 2013
Quand hollande réclamait un vote sur l'Irak en 2003
Lorsque'ujourd'hui la droite souhaite que François hollande prenne exemple sur les états unis et le Royaume-Uni qui ont soumis à un vote leur intention de préparer une riposte armée contre la Syrie. François hollande au travers des déclarations de Manuel Valls "Il n’y a pas d’intervention aujourd’hui mais il y aura ce débat. (…) Cela a été fait pour la Libye, cela a été fait pour le Mali. On ne change pas la constitution en fonction des événements. On ne modifie pas la pratique de la constitution en fonction de l’humeur des uns ou des autres."
Pourtant l'opinion des socialistes en 2003 était tout à faite différentes, ainsi François hollande réclamait au sein de l'hémicycle : "C'est pourquoi je demande, au nom des socialistes, qu'un autre débat, cette fois-ci avec vote, puisse être prévu au Parlement avant que la France n'ait à faire connaître sa décision."
Depuis 2008, l'article 50-1 de la Constitution permet au gouvernement d'organiser un débat suivi d'un vote sur une déclaration thématique, qui n'engage pas sa responsabilité. Ainsi les propos du parti socialiste sont mensongers puisqu'en l'état actuel de la constitution rien ne s'oppose à un vote sur une action en Syrie.
Harlem désir qui ne possède aucun mandat représentatif en France et qui a été poussé a la tête du parti socialiste sur décision de Martine Aubry et du Premier ministre Jean-Marc Ayrault. Désignation critiquée au sein du PS et qualifié d'« obscur » voire « Nord-coréen ». Alors que la droite pose certaines conditions afin d'éviter toute décision hâtive pour une réponse armée à la Syrie, Mr Desir le patron du PS critique la prudence de l'opposition concernant une action militaire, "Je ne voudrais pas que les mêmes qui recevaient M. al Assad un 14 juillet montre aujourd'hui un esprit munichois face à ces atrocités". Pourtant le gouvernement s'apprête à des violations du droit international si cela se déroule sans un mandat de l'ONU.
Pour rappel un certain nombre de députés PS de l'époque s'étaient prononcés favorables à cette invitation. Ainsi Jack Lang : "Il y a assez de sujets sur lesquels je suis en désaccord avec le président de la République pour le soutenir clairement sur l'initiative de paix qu'il a prise, en appelant le président Assad, en l'invitant à Paris ou bien Michel rocard : "J'ai été Premier ministre longtemps (...) vous n'imaginez pas le nombre d'assassins à qui j'ai serré la main. (...) [Il y a un] intérêt immense à ramener la Syrie à la découverte qu'elle aurait d'énormes avantages (...) à jouer le jeu international normal, à respecter sa parole, à ne plus appuyer le terrorisme, à vivre en paix avec la communauté internationale en respectant les engagements collectifs, à l'éloigner un peu de l'Iran. (...) Pour cela il faut l'aider et respecter son prestige, et donc il fallait le faire."
Le Président de l'UDI a jugé sur Europe 1 "tout à fait indigne et scandaleux" . Il a aussi appelé à la "dignité et au respect". "Je demande à Harlem Désir de les retirer immédiatement et de s'excuser et au président de la République et au Premier ministre de les condamner", a ajouté l'ancien ministre.
Pourtant l'opinion des socialistes en 2003 était tout à faite différentes, ainsi François hollande réclamait au sein de l'hémicycle : "C'est pourquoi je demande, au nom des socialistes, qu'un autre débat, cette fois-ci avec vote, puisse être prévu au Parlement avant que la France n'ait à faire connaître sa décision."
Depuis 2008, l'article 50-1 de la Constitution permet au gouvernement d'organiser un débat suivi d'un vote sur une déclaration thématique, qui n'engage pas sa responsabilité. Ainsi les propos du parti socialiste sont mensongers puisqu'en l'état actuel de la constitution rien ne s'oppose à un vote sur une action en Syrie.
Harlem désir qui ne possède aucun mandat représentatif en France et qui a été poussé a la tête du parti socialiste sur décision de Martine Aubry et du Premier ministre Jean-Marc Ayrault. Désignation critiquée au sein du PS et qualifié d'« obscur » voire « Nord-coréen ». Alors que la droite pose certaines conditions afin d'éviter toute décision hâtive pour une réponse armée à la Syrie, Mr Desir le patron du PS critique la prudence de l'opposition concernant une action militaire, "Je ne voudrais pas que les mêmes qui recevaient M. al Assad un 14 juillet montre aujourd'hui un esprit munichois face à ces atrocités". Pourtant le gouvernement s'apprête à des violations du droit international si cela se déroule sans un mandat de l'ONU.
Pour rappel un certain nombre de députés PS de l'époque s'étaient prononcés favorables à cette invitation. Ainsi Jack Lang : "Il y a assez de sujets sur lesquels je suis en désaccord avec le président de la République pour le soutenir clairement sur l'initiative de paix qu'il a prise, en appelant le président Assad, en l'invitant à Paris ou bien Michel rocard : "J'ai été Premier ministre longtemps (...) vous n'imaginez pas le nombre d'assassins à qui j'ai serré la main. (...) [Il y a un] intérêt immense à ramener la Syrie à la découverte qu'elle aurait d'énormes avantages (...) à jouer le jeu international normal, à respecter sa parole, à ne plus appuyer le terrorisme, à vivre en paix avec la communauté internationale en respectant les engagements collectifs, à l'éloigner un peu de l'Iran. (...) Pour cela il faut l'aider et respecter son prestige, et donc il fallait le faire."
Le Président de l'UDI a jugé sur Europe 1 "tout à fait indigne et scandaleux" . Il a aussi appelé à la "dignité et au respect". "Je demande à Harlem Désir de les retirer immédiatement et de s'excuser et au président de la République et au Premier ministre de les condamner", a ajouté l'ancien ministre.
Libellés :
assad,
esprit munichois,
Francois Hollande,
Harlem desir,
intervention,
ONU,
opposition,
syrie,
UMP,
vote
Inscription à :
Articles (Atom)