Après les manipulations des comptes grecs pour entrer dans l'euro, des doutes planes sur ceux de l’Italie. Ainsi d’après un rapport du Trésor italien, l'Italie a restructuré au premier semestre 2012 huit contrats dérivés passés avec des banques étrangères pour un montant de 31,7 milliards d'euros les pertes potentielles que le pays devrait assumer sur ces contrats seraient, au 20 juin, de 8,1 milliards d'euros.
Selon le Financial Times, le rapport du Trésor sur les dérivés a été communiqué à la Cour des comptes italienne au début de cette année, ce qui a conduit l'institution à faire intervenir la police financière.
Le plus important concerne l'origine de ses contrats, le Trésor italien les aurait utiliser pour obtenir des paiements immédiats des banques afin de faire entrer le déficit italien dans les clous des critères de Maastricht et permettre l'adhésion du pays à la zone euro dès 1999.
"De nombreuses erreurs ont été commises durant les années 1990 pour faire entrer l'Italie dans l'euro et, aujourd'hui, elles se traduisent par de nouvelles dettes, dissimulées dans les comptes officiels", déclare un haut fonctionnaire italien.
En 1996, l'Italie ne s’était pas encore remis de la crise monétaire qui a frappé le pays en 1992. En 1996, le déficit atteignait encore 7 % du PIB. Mais, à la surprise générale, ce déficit passe en 1997 à 2,7 % du PIB et entre ainsi dans les clous des critères de Maastricht. Le déficit italien serait alors passé en un an de 69,52 milliards d'euros à 28,86 milliards d'euros. Une amélioration de 40 milliards d'euros dont on peut aujourd'hui soupçonner que l'origine n'est pas entièrement étrangère à ces transactions de dérivés. Certaine source indique que l'ancien chancelier allemand, aurait préféré ignorer les rapports qui le mettaient en garde contre le « maquillage » des comptes publics italiens.
mercredi 26 juin 2013
La justice francaise est elle encore égalitaire ?
La justice française a relâché aujourd'hui l'un des antifa responsable d'acte de vandalisme, destruction de vitrine et acte de rébellion lors de son interpellation par les forces de l'ordre. Il avait été arrêté suite a la manif de soutien a clément Méric, suspecté par la justice d'avoir provoqué la bagarre qui a entrainé sa mort.
Malgré des faits plus grave que ceux du manifestant de la manif pour tous qui a eu une comparution immédiate et a été condamné à 4 mois de prison dont 2 ferme, cet antifa a été relâché avec une simple convocation devant le tribunal correctionnel de Paris en septembre prochain.
Il risquait pourtant 1 an de prison ferme pour rébellion, bizarrement il n'a pas été poursuivi pour acte de vandalisme malgré la destruction de vitrine (2 ans de prison, avec une amende de 30 000 euros).
L'un des manifestant antifa qui avait été arrêté pour port d'arme prohibe et qui risquait 3 ans d'emprisonnement et 3750 euros d'amende n'a pas été poursuivi par le parquet.
Cela laisse a penser sur l’indépendance de la justice notamment lorsque certains juges indiquent prendre des décision afin de ne pas indisposer le pouvoir en place.
Voici d’ailleurs une liste de peine inférieur à 2 ans de prison et qui ne sont pas exécuté :
- le 8 mai 2013 à Evreux : un individu qui a passé à tabac sa femme et sa fille reçoit 8 mois de prison dont 2 mois ferme mais repart libre en attente d’un aménagement de peine;
- le 24 mai 2013 à Laon : un homme de 21 ans qui a déjà eu à faire à la Justice est condamné à 8 mois ferme pour car jacking : il sort libre du tribunal;
- le 5 juin 2013 : un homme déjà condamné reçoit 6 mois ferme pour avoir incendié un bâtiment public : il n’est pas écroué;
- le 11 juin 2013 : un homme coupable de mise en danger de la vie d’autrui et de violence à l’encontre des policiers à Trappes est condamné à 8 mois de prison avec sursis;
- le 12 juin 2013 : pour l’attaque du RER D et de ses passagers, agressés, frappés, volés à Grigny : aucune peine de prison ferme n’est prononcée et relaxe pour la quasi-totalité des participants;
- le 12 juin 2013 : agression sexuelle sur une fille de 11 ans dans les Ardennes : 18 mois avec sursis;
- le 14 juin 2013, un homme qui a violé sa voisine pendant 2 mois a été condamné à 18 mois ferme, sans être incarcéré à l’issue de l’audience.
On a tendance a croire aprés de tels décisions que la justice française condamne certains individus avec la plus grande sévérité et laisse filer les délinquants et les récidivistes.
Malgré des faits plus grave que ceux du manifestant de la manif pour tous qui a eu une comparution immédiate et a été condamné à 4 mois de prison dont 2 ferme, cet antifa a été relâché avec une simple convocation devant le tribunal correctionnel de Paris en septembre prochain.
Il risquait pourtant 1 an de prison ferme pour rébellion, bizarrement il n'a pas été poursuivi pour acte de vandalisme malgré la destruction de vitrine (2 ans de prison, avec une amende de 30 000 euros).
L'un des manifestant antifa qui avait été arrêté pour port d'arme prohibe et qui risquait 3 ans d'emprisonnement et 3750 euros d'amende n'a pas été poursuivi par le parquet.
Cela laisse a penser sur l’indépendance de la justice notamment lorsque certains juges indiquent prendre des décision afin de ne pas indisposer le pouvoir en place.
Voici d’ailleurs une liste de peine inférieur à 2 ans de prison et qui ne sont pas exécuté :
- le 8 mai 2013 à Evreux : un individu qui a passé à tabac sa femme et sa fille reçoit 8 mois de prison dont 2 mois ferme mais repart libre en attente d’un aménagement de peine;
- le 24 mai 2013 à Laon : un homme de 21 ans qui a déjà eu à faire à la Justice est condamné à 8 mois ferme pour car jacking : il sort libre du tribunal;
- le 5 juin 2013 : un homme déjà condamné reçoit 6 mois ferme pour avoir incendié un bâtiment public : il n’est pas écroué;
- le 11 juin 2013 : un homme coupable de mise en danger de la vie d’autrui et de violence à l’encontre des policiers à Trappes est condamné à 8 mois de prison avec sursis;
- le 12 juin 2013 : pour l’attaque du RER D et de ses passagers, agressés, frappés, volés à Grigny : aucune peine de prison ferme n’est prononcée et relaxe pour la quasi-totalité des participants;
- le 12 juin 2013 : agression sexuelle sur une fille de 11 ans dans les Ardennes : 18 mois avec sursis;
- le 14 juin 2013, un homme qui a violé sa voisine pendant 2 mois a été condamné à 18 mois ferme, sans être incarcéré à l’issue de l’audience.
On a tendance a croire aprés de tels décisions que la justice française condamne certains individus avec la plus grande sévérité et laisse filer les délinquants et les récidivistes.
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lundi 24 juin 2013
Dégats après une manifestation antifasciste
Suite à la manifestation des antifascistes en mémoire de clément Méric, de nombreux dégât sont a déplorer. "Au passage du cortège, de nombreuses vitrines, notamment d'établissements bancaires, ainsi que du mobilier urbain, ont été saccagés" selon Manuel Valls. Des vitrines d'agences bancaires ont été vandalisées et brisées tout le long du parcours jusqu'à l'arrivée Place Stalingrad, on déplore ainsi plusieurs dizaine de milliers d'euros de dégât.
Mais la police, afin de ne pas indisposer le gouvernement n'a procédé qu'à très peu d'interpellation. Seulement quatorze personnes ont été interpellées, "notamment pour port d'arme prohibé", d'après le ministère de l'Intérieur.
Au passage du cortège, des personnes ont agité des drapeaux français et de la Manif pour tous à la fenêtre d'un immeuble, suscitant la colère d'un groupe de manifestants qui ont forcé la porte de l'immeuble et l'ont tagué.
Pour rappel, le port d'arme est normalement sévèrement puni :
Quiconque, hors de son domicile et sauf les exceptions résultant des dispositions des articles L 2338-1 et L 2338-2 est trouvé porteur ou effectue sans motif légitime le transport d'une ou plusieurs armes de 1re, 4e ou 6e catégorie (armes blanche), ou d'éléments constitutifs de ces armes des 1re et 4e catégories ou des munitions correspondantes est puni :S'il s'agit d'une arme de la 6e catégorie, d'un emprisonnement de 3 ans et d'une amende de 3 750 euros.
II.- L'emprisonnement peut être porté à 10 ans dans les cas suivants :
1° Si l'auteur des faits a été antérieurement condamné pour crime ou délit à une peine égale ou supérieure à un an d'emprisonnement ferme ou à une peine plus grave ;
2° Si le transport d'armes est effectué par au moins deux personnes ;
3° Si deux personnes au moins sont trouvées ensemble porteuses d'armes.
III.- Dans tous les cas prévus au présent article, le tribunal ordonne la confiscation des armes.
Au vue de la condamnation du manifestant de la manif pour tous mercredi dernier condamner pour rébellion (La punition pour rébellion est prévue par l’article 433-7 du Code pénal : « est puni de six mois d’emprisonnement et de 5700 euros d’amende ».) on ne peut que penser que ses personnes risquent de faire également de la prison ferme si l'on garde les même proportion ils devraient faire 1 an de prison ferme.
Mais la police, afin de ne pas indisposer le gouvernement n'a procédé qu'à très peu d'interpellation. Seulement quatorze personnes ont été interpellées, "notamment pour port d'arme prohibé", d'après le ministère de l'Intérieur.
Au passage du cortège, des personnes ont agité des drapeaux français et de la Manif pour tous à la fenêtre d'un immeuble, suscitant la colère d'un groupe de manifestants qui ont forcé la porte de l'immeuble et l'ont tagué.
Pour rappel, le port d'arme est normalement sévèrement puni :
Quiconque, hors de son domicile et sauf les exceptions résultant des dispositions des articles L 2338-1 et L 2338-2 est trouvé porteur ou effectue sans motif légitime le transport d'une ou plusieurs armes de 1re, 4e ou 6e catégorie (armes blanche), ou d'éléments constitutifs de ces armes des 1re et 4e catégories ou des munitions correspondantes est puni :S'il s'agit d'une arme de la 6e catégorie, d'un emprisonnement de 3 ans et d'une amende de 3 750 euros.
II.- L'emprisonnement peut être porté à 10 ans dans les cas suivants :
1° Si l'auteur des faits a été antérieurement condamné pour crime ou délit à une peine égale ou supérieure à un an d'emprisonnement ferme ou à une peine plus grave ;
2° Si le transport d'armes est effectué par au moins deux personnes ;
3° Si deux personnes au moins sont trouvées ensemble porteuses d'armes.
III.- Dans tous les cas prévus au présent article, le tribunal ordonne la confiscation des armes.
Au vue de la condamnation du manifestant de la manif pour tous mercredi dernier condamner pour rébellion (La punition pour rébellion est prévue par l’article 433-7 du Code pénal : « est puni de six mois d’emprisonnement et de 5700 euros d’amende ».) on ne peut que penser que ses personnes risquent de faire également de la prison ferme si l'on garde les même proportion ils devraient faire 1 an de prison ferme.
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samedi 22 juin 2013
La cotation d'un nourisson en france : 15 000 euros
Après une première affaire fin mai concernant la vente d'un bébé pour la somme de 15 000 euros par une famille rom le 29 mai dernier. La mère du bébé, âgée de 20 ans, et la grand-mère ont vendu le bébé, âgé de trois semaines, "pour la somme de 15 000 euros, retrouvée lors de l'interpellation". La mère a été mise en examen par un juge d'instruction de Meaux "pour délaissement de mineur de moins de 15 ans compromettant sa santé ou sa sécurité" et la grand-mère de 37 ans pour "provocation d'abandon d'enfant". "Pour l'instant, on est sur un fait ponctuel, mais la question de savoir s'il peut s'agir d'un trafic d'être humain" indique le procureur.
On apprend qu'une femme de 34 ans est accusée d'avoir escroqué un couple d'homosexuels dont elle portait l'enfant. Elle avait accepté de porter contre rémunération l'enfant d'un couple d'homosexuels. Ainsi le couple a payé 9 000 euros d'acompte et il était prévu 6 000 euros pour la livraison. Mais rien ne s'est passé comme prévu, la jeune femme affirme au couple que le bébé n'a pas survécu à l'accouchement. En réalité, elle aurait revendu le nourrisson à une autre famille, contre 15.000 euros.
Le couple homosexuel a alerté la direction de la clinique, qui a prévenu les autorités qui ont arrêté la jeune femme pour escroquerie et provocation à l'abandon d'enfant. Le bébé, âgé de trois mois, a été localisé. Il se porte bien, et n'a pas été retiré à la famille à laquelle il aurait été vendu
Le 13 juin 2013, une femme est jugé pour avoir refusé d'abandonner sont enfants après un contrat passé. Un couple qui avait fait appel à elle, il y a environ trois ans a porté plainte parce qu’elle refusait de rendre le bébé : Les deux époux qui n'arrivait pas a avoir d'enfant consultent alors des sites spécialisés, sur «des forums sur lesquels des femmes monnaient leurs services de mère porteuse» et se lient avec une femme qui propose de porter leur enfant en échange de 15 000 euros. La jeune femme accouchera sous X à Paris et devra expliquer que ce bébé est le fruit d’une relation extraconjugale avec le mari complice. Elle affirmera ensuite ne pas vouloir garder l’enfant. L’époux, lui, n’aura plus qu’à le reconnaître.En cachette, elle effectue une reconnaissance prénatale pour être certaine de pouvoir le garder.Quelques semaines avant d’accoucher, elle coupe les ponts avec les futurs parents.Pour pouvoir garder le petit garçon, la mère porteuse fait croire qu’elle est partie à cause des violences que lui feraient subir le mari. La mère est accusée d'«insémination artificielle par sperme frais provenant d'un don» et le couple poursuivi pour «complicité par fournitures de moyens». Le parquet a requis une peine de 8 mois de prison avec sursis pour le père et 6 mois avec sursis pour les deux femmes.
On apprend qu'une femme de 34 ans est accusée d'avoir escroqué un couple d'homosexuels dont elle portait l'enfant. Elle avait accepté de porter contre rémunération l'enfant d'un couple d'homosexuels. Ainsi le couple a payé 9 000 euros d'acompte et il était prévu 6 000 euros pour la livraison. Mais rien ne s'est passé comme prévu, la jeune femme affirme au couple que le bébé n'a pas survécu à l'accouchement. En réalité, elle aurait revendu le nourrisson à une autre famille, contre 15.000 euros.
Le couple homosexuel a alerté la direction de la clinique, qui a prévenu les autorités qui ont arrêté la jeune femme pour escroquerie et provocation à l'abandon d'enfant. Le bébé, âgé de trois mois, a été localisé. Il se porte bien, et n'a pas été retiré à la famille à laquelle il aurait été vendu
Le 13 juin 2013, une femme est jugé pour avoir refusé d'abandonner sont enfants après un contrat passé. Un couple qui avait fait appel à elle, il y a environ trois ans a porté plainte parce qu’elle refusait de rendre le bébé : Les deux époux qui n'arrivait pas a avoir d'enfant consultent alors des sites spécialisés, sur «des forums sur lesquels des femmes monnaient leurs services de mère porteuse» et se lient avec une femme qui propose de porter leur enfant en échange de 15 000 euros. La jeune femme accouchera sous X à Paris et devra expliquer que ce bébé est le fruit d’une relation extraconjugale avec le mari complice. Elle affirmera ensuite ne pas vouloir garder l’enfant. L’époux, lui, n’aura plus qu’à le reconnaître.En cachette, elle effectue une reconnaissance prénatale pour être certaine de pouvoir le garder.Quelques semaines avant d’accoucher, elle coupe les ponts avec les futurs parents.Pour pouvoir garder le petit garçon, la mère porteuse fait croire qu’elle est partie à cause des violences que lui feraient subir le mari. La mère est accusée d'«insémination artificielle par sperme frais provenant d'un don» et le couple poursuivi pour «complicité par fournitures de moyens». Le parquet a requis une peine de 8 mois de prison avec sursis pour le père et 6 mois avec sursis pour les deux femmes.
mercredi 12 juin 2013
Marie-Arlette Carlotti et ses invités laissent une ardoise de 1 200 euros
Un dîner-débat avait été organisé le 4 mai dans un
établissement réputé (le Don Corleone) afin de présenter le livre
de Maris Arlette Carlotti pour présente son livre Marseille ma capitale.
Mais, durant le diner deux militants socialistes aux conceptions opposées
en sont venus aux mains. "Au départ, l'ambiance était bon enfant, raconte
Alfredo Mauro, le patron. Mais les deux convives ont fini par se traiter
mutuellement de réac et de facho." L'affaire a vraiment tourné au
vinaigre, juste avant le dessert. Une bousculade s'est alors ensuivie et la
candidate à la mairie de Marseille a été exfiltrée par les policiers du Service
de protection des hautes personnalités (SPHP). Tous les clients sont partis
sans payer et le restaurateur s'est retrouvé avec une note de 1200 euros sur
les bras.
"Nathalie Pigamo, la collaboratrice de Carlotti à
Marseille, m'a rapidement rassuré et a laissé un message vocal pour dire que,
malgré les incidents, la ministre réglerait la note", confie le
restaurateur au point "Je les ai relancés à plusieurs reprises. Les
collaborateurs de la ministre me répondaient que, faute de dessert, ils ne
régleraient pas la totalité de l'addition." le gérant du restaurant a donc
décidé de porter plainte et a diffusé un communiqué pour le faire savoir.
"Quatre minutes plus tard, je recevais un coup de fil du ministère me
pressant de démentir, sinon je ne serai jamais payé et la justice laissera
traîner les choses. J'ai refusé."
Coup de fil particulièrement inquiétant concernant l’indépendance
de la justice, et la main mise du syndicat de la magistrature sur les décisions
(très lié a la ministre de la justice Taubira). Rappelons que le journaliste
ayant filmé le mur des cons s’est vu sanctionner par une mise a pied car il a respecté
le secret des sources. (La protection des sources d'information des journalistes,
appelée aussi « secret professionnel », est la base de la déontologie du
journalisme et de la liberté de la presse).
Le ministère alors qu’il na rien avoir avec cette affaire a
porté plainte pour tentative d’escroquerie. Selon une source judiciaire
marseillaise, la ministre discuterait du prix, ne souhaitant régler que 15
euros le repas au lieu des 35 réclamés par le restaurateur alors que Madame
Carlotti et ses 32 invités avaient commandés, le dessert pas consommé mais
préparé donc celui-ci doit être payé au prix du menu convenu. La ministre
indique à qui veut l'entendre : "Je ne céderai pas à la mauvaise foi
et au mensonge. Il n'a jamais été question que mon équipe règle ces repas.
J'étais l'invitée du restaurateur, et je ne connaissais pas la plupart des
convives."
vendredi 7 juin 2013
La tragédie des extrêmes
Suite au décès de Clément Méric, lors d’une rixe entre groupes extrémistes, se pose la question de la dissolution de ces groupes incitant à la haine.
C’est la deuxième fois en une semaine qu’un étudiant décède suite a une rixe, déjà mardi dernier un élève ingénieur des arts et Métiers Paris est décédé de ses blessures suite à une altercation au sujet d’une cigarette : « les raisons qui ont conduit à l’altercation tragique n’ont pas encore été clairement établies, mais il pourrait s’agir désormais d’une histoire de cigarette entre les deux hommes ». Décès dont la presse s’est très peu fait l’écho alors que « L’autopsie pratiquée à l’institut médico-légal de Reims fait d’ailleurs état d’une extrême violence ».
Mercredi l’altercation entre les deux groupes extrémistes s’est produits près de Saint Lazare où la rixe a opposé des jeunes nationalistes à des militants d’extrême gauche. La confrontation a eu lieu à l’issue d’une vente privée de vêtements Fred Perry (marque prisée par les skinheads d'extrême droite et d'extrême gauche). Après avoir reçu un coup violent, Clément Méric est tombé et sa tête a alors heurté un plot en métal. D'après le mouvement action antifasciste Paris-Banlieue, Clément Méric, 19 ans, syndicaliste et militant antifasciste, était originaire de Brest et suivait des études à Sciences Po.
Un grand nombre de politique de gauche et d’extrême gauche ont immédiatement voulu faire un lien avec les manifestations de « la manif pour tous ».
Pierre Bergé a ainsi indiqué sur twitter : "L'immonde barjot avait promis du sang, le voilà qui éclaboussent la démocratie et la république. Cette #manifpourtous se rend-elle compte ?". (Pierre Bergé avait d’ailleurs appelé de ses vœux l’explosion d’une bombe pendant une manifestation de « la manif pour tous »)
On peut d’ailleurs voir apparaitre sur le web certain commentaire appelant à venger sa mort par un meurtre : «un mort chez nous, un mort chez eux.
Face à ce déferlement d’accusation le député UMP de Paris Bernard Debré a fait part de son indignation : "C'est monstrueux de dire ça. Les milliers et millions de personnes qui ont manifesté avec des enfants n'ont rien à voir avec ça. C'étaient des manifestations bon enfant, et malheureusement, comme dans toutes les manifestations, de droite comme de gauche, il y a des groupuscules qui viennent ternir ce climat. Cette assimilation est même honteuse pour la mémoire de ce pauvre garçon tué par ces fascistes." Le député de la manche Philippe Gosselin s'est également emporté contre l'attitude de la majorité sur RMC. Selon lui, "la Manif pour tous n'a jamais, de près ou de loin, cautionné quoi que ce soit".
Avec l’aide des caméras de surveillance et des témoins, la police poursuit ses investigations. Selon les premiers éléments de l’enquête, un vigile présent sur les lieux du drame et qualifié de témoin "principal" par la police met en cause les quatre militants du groupuscule antifascistes auquel appartenait la victime.
Le point qui a pu l’interviewé indique : « l’un de ces militants très remonté, avait des gants de boxe dans son sac et a incité les autres à se battre contre les skinheads ». il a ajouté que Clément Méric aurait déclaré à propos des skinheads : "ce sont des gens qui ne devraient même pas être vivants." Il maintient toutefois que Clément n'était pas le meneur, et que si son camarade ne l'avait pas poussé à se battre, rien ne serait arrivé.
Selon une source policière, il était connu des services spécialisés comme appartenant à un groupe de militants d'extrême gauche qui recherchait la confrontation avec des militants d'extrême droite, notamment la vingtaine de skins constituant le noyau dur des JNR.
Ainsi le groupe Antifa dont faisait partie la victime se présente comme des chasseurs de skins. Les premiers groupes chasseur de skins se sont formé au début des années 80 en réponse aux groupuscules issus de la mouvance skinhead. Ils ont affirmé leurs convictions à coups de poing.
Les JNR, ( Jeunesses nationalistes révolutionnaires) sont la garde rapprochés de Serge Ayoub ancien leader des skinheads parisiens, aujourd'hui à la tête d'un mouvement Troisième voie. Ils sont considérés par ce dernier comme «l'élite» de ses troupes, qui, plus prosaïquement, jouent le rôle de service d'ordre. Troisième voie et les JNR font partie de la mouvance nationaliste révolutionnaire, qui refuse capitalisme et communisme.
Alors que trois personnes placées en garde à vue dans le cadre de l'enquête ont été relâchées vendredi, cinq gardes à vue sont toujours en cours dont celle de l'auteur présumé des faits, un skinhead de 20 ans. Selon une source policière, plusieurs des gardés à vue sont connus comme proches du groupuscule Troisième Voie et des JNR
C’est la deuxième fois en une semaine qu’un étudiant décède suite a une rixe, déjà mardi dernier un élève ingénieur des arts et Métiers Paris est décédé de ses blessures suite à une altercation au sujet d’une cigarette : « les raisons qui ont conduit à l’altercation tragique n’ont pas encore été clairement établies, mais il pourrait s’agir désormais d’une histoire de cigarette entre les deux hommes ». Décès dont la presse s’est très peu fait l’écho alors que « L’autopsie pratiquée à l’institut médico-légal de Reims fait d’ailleurs état d’une extrême violence ».
Mercredi l’altercation entre les deux groupes extrémistes s’est produits près de Saint Lazare où la rixe a opposé des jeunes nationalistes à des militants d’extrême gauche. La confrontation a eu lieu à l’issue d’une vente privée de vêtements Fred Perry (marque prisée par les skinheads d'extrême droite et d'extrême gauche). Après avoir reçu un coup violent, Clément Méric est tombé et sa tête a alors heurté un plot en métal. D'après le mouvement action antifasciste Paris-Banlieue, Clément Méric, 19 ans, syndicaliste et militant antifasciste, était originaire de Brest et suivait des études à Sciences Po.
Un grand nombre de politique de gauche et d’extrême gauche ont immédiatement voulu faire un lien avec les manifestations de « la manif pour tous ».
Pierre Bergé a ainsi indiqué sur twitter : "L'immonde barjot avait promis du sang, le voilà qui éclaboussent la démocratie et la république. Cette #manifpourtous se rend-elle compte ?". (Pierre Bergé avait d’ailleurs appelé de ses vœux l’explosion d’une bombe pendant une manifestation de « la manif pour tous »)
On peut d’ailleurs voir apparaitre sur le web certain commentaire appelant à venger sa mort par un meurtre : «un mort chez nous, un mort chez eux.
Face à ce déferlement d’accusation le député UMP de Paris Bernard Debré a fait part de son indignation : "C'est monstrueux de dire ça. Les milliers et millions de personnes qui ont manifesté avec des enfants n'ont rien à voir avec ça. C'étaient des manifestations bon enfant, et malheureusement, comme dans toutes les manifestations, de droite comme de gauche, il y a des groupuscules qui viennent ternir ce climat. Cette assimilation est même honteuse pour la mémoire de ce pauvre garçon tué par ces fascistes." Le député de la manche Philippe Gosselin s'est également emporté contre l'attitude de la majorité sur RMC. Selon lui, "la Manif pour tous n'a jamais, de près ou de loin, cautionné quoi que ce soit".
Avec l’aide des caméras de surveillance et des témoins, la police poursuit ses investigations. Selon les premiers éléments de l’enquête, un vigile présent sur les lieux du drame et qualifié de témoin "principal" par la police met en cause les quatre militants du groupuscule antifascistes auquel appartenait la victime.
Le point qui a pu l’interviewé indique : « l’un de ces militants très remonté, avait des gants de boxe dans son sac et a incité les autres à se battre contre les skinheads ». il a ajouté que Clément Méric aurait déclaré à propos des skinheads : "ce sont des gens qui ne devraient même pas être vivants." Il maintient toutefois que Clément n'était pas le meneur, et que si son camarade ne l'avait pas poussé à se battre, rien ne serait arrivé.
Selon une source policière, il était connu des services spécialisés comme appartenant à un groupe de militants d'extrême gauche qui recherchait la confrontation avec des militants d'extrême droite, notamment la vingtaine de skins constituant le noyau dur des JNR.
Ainsi le groupe Antifa dont faisait partie la victime se présente comme des chasseurs de skins. Les premiers groupes chasseur de skins se sont formé au début des années 80 en réponse aux groupuscules issus de la mouvance skinhead. Ils ont affirmé leurs convictions à coups de poing.
Les JNR, ( Jeunesses nationalistes révolutionnaires) sont la garde rapprochés de Serge Ayoub ancien leader des skinheads parisiens, aujourd'hui à la tête d'un mouvement Troisième voie. Ils sont considérés par ce dernier comme «l'élite» de ses troupes, qui, plus prosaïquement, jouent le rôle de service d'ordre. Troisième voie et les JNR font partie de la mouvance nationaliste révolutionnaire, qui refuse capitalisme et communisme.
Alors que trois personnes placées en garde à vue dans le cadre de l'enquête ont été relâchées vendredi, cinq gardes à vue sont toujours en cours dont celle de l'auteur présumé des faits, un skinhead de 20 ans. Selon une source policière, plusieurs des gardés à vue sont connus comme proches du groupuscule Troisième Voie et des JNR
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lundi 3 juin 2013
Victoire de Nathalie Kosciusko-Morizet à la primaire pour la mairie de paris
Nathalie Kosciusko-Morizet s’est qualifiée dès le premier tour avec 58 % des suffrages exprimés, pour 23.000 inscrits et 20.000 votants. cela malgré un scrutin très tendu avec des menaces de fraudes et une demande d’arrêt du vote de la part de Pierre-Yves Bournazel.
En deuxième position, arrive le maire du Ie arrondissement, Jean-François Legaret (20,40 % des voix) qui la semaine précédente avait porté plainte pour "faux et usage de faux" concernant une vidéo dans laquelle il semble soutenir le mouvement Gaylib dans son combat pour le mariage pour tous. Il s’agirait en réalité d’une version tronquée d'une vidéo datante de 2007 dans laquelle Jean-François Legaret soutenait la création d’un contrat civil entre homosexuels.
Le conseiller de Paris du XVIIIe arrondissement Pierre-Yves Bournazel n’arrive qu’a seulement 10,75 % des voix. Alors qu’il a indiqué son opposition au mariage pour tous durant les primaires, en 2011 à la suite à une proposition de loi PS en faveur du mariage entre personnes du même sexe. Il indiquait lors d’une interview sur i-tele son soutien au mariage homosexuel alors que seuls 9 députés UMP avait accepté de voter en faveur de l'égalité des droits pour les couples de même sexe. «Moi je suis pour l'égalité des droits, on est en 2011 dans une société qui doit être décomplexée» indiquait-il.
Il ne devance que de quelques suffrages le candidat du parti Chrétien Démocrate, Franck Margain (10,34 % des voix).
En deuxième position, arrive le maire du Ie arrondissement, Jean-François Legaret (20,40 % des voix) qui la semaine précédente avait porté plainte pour "faux et usage de faux" concernant une vidéo dans laquelle il semble soutenir le mouvement Gaylib dans son combat pour le mariage pour tous. Il s’agirait en réalité d’une version tronquée d'une vidéo datante de 2007 dans laquelle Jean-François Legaret soutenait la création d’un contrat civil entre homosexuels.
Le conseiller de Paris du XVIIIe arrondissement Pierre-Yves Bournazel n’arrive qu’a seulement 10,75 % des voix. Alors qu’il a indiqué son opposition au mariage pour tous durant les primaires, en 2011 à la suite à une proposition de loi PS en faveur du mariage entre personnes du même sexe. Il indiquait lors d’une interview sur i-tele son soutien au mariage homosexuel alors que seuls 9 députés UMP avait accepté de voter en faveur de l'égalité des droits pour les couples de même sexe. «Moi je suis pour l'égalité des droits, on est en 2011 dans une société qui doit être décomplexée» indiquait-il.
Il ne devance que de quelques suffrages le candidat du parti Chrétien Démocrate, Franck Margain (10,34 % des voix).
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